Déneïr (Dé-né-ir) est le dieu des lettres et de la littérature. Il incarne la faculté de retranscrire et de décrire avec précision, d'écrire et de lire, de transmettre l'information.[1] Son existence se justifie par le besoin de lire l’œuvre appelée le Texte Suprême, dont la compréhension déverrouillerait les secrets du multivers. Il est la divinité tutélaire des artistes, des enlumineurs, des cartographes et des scribes. Le Seigneur de Tous les Glyphes et Icônes veille aux créations écrites, traquant désespérément le texte qui lui échappe.[2]
Histoire[]
On dit que Déneïr prit place parmi les dieux en entrevoyant une infime partie du Texte Suprême, qui l'obsède depuis.[2]
Magepeste[]
Déneïr disparut suite à la Magepeste.[3]
Seconde Fracture[]
Après les événements de la Seconde Fracture, Déneïr réintégra le panthéon faerûnien.[1]
Relations[]
Déneïr est un serviteur d'Oghma et lui sert de scribe. Tous deux entretiennent une relation symbiotique : Oghma incarne l'étincelle de créativité, Déneïr s'attache à consigner des épiphanies de l'humanité. Son intérêt pour les questions magiques et sa conception studieuse de la vie le rend populaire auprès de Mystra, Azouth et surtout Savras. Lliira s'amuse à le mettre mal à l'aise, espérant lui insuffler un peu d'humour.[2]
Ceux qui dissimulent les connaissances, comme Cyric, Shar et Mask, ainsi que les dieux destructeurs de la fureur, provoquent la colère de Déneïr.[2]
Références[]
- ↑ 1,0 et 1,1 DD5 - Guide des aventuriers de la Côte des Épées p.28
- ↑ 2,0 2,1 2,2 et 2,3 DD3 - Dogmes et panthéons p.93
- ↑ DD4 - Encyclopédie des Royaumes Oubliés p.121