La Gardesort est une congrégation de magiciens et de sorciers et constitue l'arme la plus puissante de Lunargent.[1]
Objectifs de l'organisation[]
Les Gardesorts protègent le palais de Lunargent[2] et assurent la défense de la cité. Ils traquent les menaces internes mais ont toute latitude pour opérer au-delà des limites de Lunargent tant qu'ils se comportent en dignes représentants de la ville.[3] L'organisation administre également les quartiers où règne le mythal de la ville, patronne le conclave des collèges et des sages, assiste les Chevaliers d'argent au combat.[1]
Membres de l'organisation[]

Un tieffelin au service de la Gardesort.
Hiérarchie[]
La Gardesort est dirigée par un Seigneur gardien. Les Gardesorts peuvent s'élever au poste de Gardien.[1]
Intégrer l'organisation[]
Les Gardesorts sont des magiciens, des mages d'armes et parfois des sorciers.[3] Tous sont volontaires et libre de démissionner à tout moment. Les candidats doivent faire preuve de pouvoirs profanes avancés lors d'un entretien supervisé par le Seigneur gardien. Celui-ci emploie des sorts pour détecter toute tentative de tromperie ou d'espionnage.[1]
Les jeunes mages cherchant à intégrer le Conclave de Lunargent se voient généralement obligés de servir en tant que Gardesort pour une période déterminée.[1]
Histoire[]
La Gardesort fut fondée en 1255 CV par Taern Lamecornue, dans le but de protéger Alustriel.[1]
Aux alentours de 1372 CV, la fonction de Seigneur gardien était assurée par Jorus Mantelazur, successeur désigné de Taern Lamecornue.[1]
Magepeste[]
La catastrophe de la Magepeste affaiblit grandement le Mythal de Lunargent, jusqu'à ce qu'il finisse par succomber. Ajouté à la mort temporaire de Mystra, la Gardesort dût redoubler d'efforts pour défendre la cité et sa prospérité. La Gardesort renforça également sa présence dans le reste des Marches d'argent.[3]
Références[]
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 et 1,6 DD3 - Les Marches d'Argent p.92
- ↑ DD3 - Royaumes Oubliés - Univers p.158
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 DD4 - Guide des Joueurs des Royaumes Oubliés p.61