Lhesper est une ville en ruine évitée par les nomades.[1]
Géographie[]
Lhesper est située sur la côte nord du Lac Lhespen, au sud de Shaarmid.[2]
Habitants[]
Lhesper abrite un puissant clan d'ensorceleurs yuan-tis[1] appartenant à une organisation appelée la Cabale Lovée.[3] Ils contrôlent des bandits qui capturent les voyageurs passant à proximité, les emmènent dans les ruine et les sacrifient à Sseth, dieu noir des yuan-tis, lorsqu'ils ne sont pas transformés en monstrueux serviteurs serpentins.[1][2] Les yuan-tis cherchent dans les ruines de vieux artefacts des royaumes oubliés des sarrukhs, leurs créateurs.[4]
Rumeurs et légendes[]
Des rumeurs rapportent que le dieu Sseth aurait transformé les yuan-tis pour qu'ils deviennent les nouveaux seigneurs du Shaar, désertifié suite à la Magepeste.[5]
Histoire[]
- - 373 CV. La ville de Lhesper est fondée par des émigrés lapals fuyant l'épidémie de Peste impériale qui avait ravagé la Lapaliiya en - 375 CV.[2]
- 297 CV. Les armées du Qysara Shoun V traversent le Shaar et conquièrent toutes les terres situées entre la Mer Étincelante et l'Escarpe. Lhesper perd son indépendance.[2]
- 437 CV. Déclanchement de la campagne punitive des Sept Embrasements. Lhesper est ravagée par les troupes de l'Imperium shoun.[6]
- 451 CV. Lespher retrouve son indépendance.[2]
- 640 CV. Des tribus gnolls de Yeenoghu rasent Lhesper. Les survivants fondent Shaarmid.[7][2]
Les ruines de Lhesper servirent pendant des siècles de terrain de chasse aux gnolls.[2]
XIVe siècle CV[]
Au XIVe siècle CV, des yuan-tis de la Cabale Lovée occupèrent les ruines, à la recherche des légendaires émeraudes de Merrshaulk. Lhesper était le dernier endroit connu pour avoir abrité cette précieuse parure.[2]
Références[]
- ↑ 1,0 1,1 et 1,2 DD3 - Royaumes Oubliés - Univers p.182
- ↑ 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 et 2,7 DD3 - Les Royaumes Serpents p.133
- ↑ DD3 - Le Sud Étincelant p.174
- ↑ DD3 - Le Sud Étincelant p.171
- ↑ DD4 - Encyclopédie des Royaumes Oubliés p.95
- ↑ DD3 - Les Royaumes Serpents p.102
- ↑ DD3 - Le Sud Étincelant p.170