Wiki Le Monde des Royaumes Oubliés
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La lune de Toril est connue sous le nom de Séluné. Elle tourne autour de Toril à une distance d'environ 32 000 kilomètres et fait près de 3 200 kilomètres de circonférence, bien qu'elle ne semble pas plus grosse qu'une main humaine dans le ciel. Elle est suivie par une nuée d'astéroïdes appelée les Larmes de Séluné.[1]

La brillance de Séluné est telle que, lorsqu'elle est pleine, les ombres qu'elle renvoie sont encore pâles. L'heure du lever et du coucher de Séluné varient en fonction du calendrier.[1]

Éclipses[]

L'orbite que décrit Séluné autour de Toril est dans le même plan que celle de Toril autour du soleil. Les éclipses solaires et lunaires sont donc fréquentes, quoique celles du soleil ne soient jamais annulaires, plutôt totales, et presque jamais partielles, du fait de la largeur de l'ombre que projette Séluné sur Toril, et inversement. Les éclipses solaires peuvent réveiller brièvement les êtres nocturnes, mais ils se rendorment aussi vite lorsque la lumière du jour revient.[1]

Les phases de Séluné[]

Séluné est pleine à minuit très exactement, le premier Martel 1372 CV, et tous les trente jours, dix heures et trente minutes qui suivent. Le laps de temps qui s'écoule entre chaque pleine lune représente techniquement un mois synodique, soit la période séparant une conjonction Soleil-Toril-Séluné de la prochaine. Séluné décrit exactement quarante-huit révolutions synodiques tous les quatre ans du calendrier de Toril.[1]

Ainsi, elle est pleine à minuit pile le premier jour jour de chaque année et présente la même phase à quatre ans d'intervalle.[1]

L'une des festivités faerûniennes, la Fête de la lune, se tient à l'occasion d'une pleine lune prévue aux alentour de cette date ou à cette date précise. Du fait de la proximité de la période synodique de Séluné avec la longueur réelle d'un mois calendaire, Séluné est pleine aux alentours du premier jour de chaque mois ou lors des jours de festivité, à un ou deux jours près. Les festivités annuelles servent à redresser les inadéquations entre les mois synodiques et calendaires, la Rencontre des boucliers apportant la correction nécessaire tous les quatre ans pour éviter que la pleine lune ne se présente de plus en plus tard dans le mois.[1]

Références[]

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